TRIP(ES) ou Mes parents n’ont pas eu les couilles de faire des enfants.

Tentative familiale éphémère de très grand dehors.

« Du côté de mon père, neuf chiens sont morts en comptant mon grand-père.

Vous avalez des grillades et moi je déballe mes tripes.

Allouez-vous l’espace de cet instant dans cette famille éphémère que nous allons tenter de construire et sans doute de dé-truire aussitôt, ensemble.

Moi, je serai moi même, avec tous les écarts de comportement possibles et (in) imaginables de l’humain, du comédien et des personnages.

Je vais parler de vous, des oiseaux qui passent, de mon grand père adulescent, de l’andouillette AAAAA, de la page 357 du banquet de Platon, des Renault Scenic TDCI et des labradors chocolat à poil long. Sans oublier tout ce que j’aurais pu omettre au-dessus en bas et bien plus loin.

J’aime les pelleteuses, le théâtre et tout le reste…

Je voudrais pisser sur la Cène et réutiliser les couleurs pour mon banquet.

Pour ce qui est du sens il y a le vôtre, celui du vent et les miens…

Continuez à tourner, coupez le feu et servez Bon appétit ! ! ! »

« La famille appartient à ceux qui naissent tôt »

Pour les autres qui voudraient encore jouer à la famille, rien n’est jamais perdu…

Temps (avec odeur d’embrayage.)

Prenons :
Le prétexte familial
Un début de repas
L’énergie des enfants dans des grands corps
L’art
Le théâtre
Une authenticité Limousine
Des voitures consentantes
Une possible liberté
Des habits qui nous démangent
De l’Oasis qui ne veut pas mousser
Des cris chuchotés
Des tronçonneuses jeunes premières…
Des comédiens animateurs familiaux
Des faux barons de théâtre en salle
D’un vrai vin de spectacle
Un vrai fusil faux pour le spectacle
Des textes par cœur pas sus
Pas de vrai chien de spectacle
…